Drôle de nom pour cette rando ! mais c'est autour de Coussay-les-Bois que nous avons arpenté les chemins avec 21 km au compteur. Tout a commencé dans la brume qui persiste depuis quelques jours mais l'arrivée du soleil allait bientôt nous surprendre.
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| On dirait des petites omelettes |
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| ça rend bien service le balisage |
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| C'est vérifié : c'est une racine d'arbre |
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| Et Jean se demande ce qu'il va en faire |
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| Le château d'Alogny |
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| Mais que vois-tu au loin ? |
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| Viens vite, on va manger |
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| Même pas froid à l'abri de ce petit bois, le soleil nous réchauffe un peu |
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| Le fruit de la Datura |
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| La phacélie : un engrais vert mellifère |
Engrais vert reconnu pour sa croissance rapide, la phacélie renouvelle les éléments nutritifs du sol et étouffe toutes les mauvaises herbes, chiendent compris. Cette très jolie plante à la délicate floraison mauve bleutée est idéale pour préparer le sol au potager. En massifs ou en prairies naturelles, elle attire les insectes pollinisateurs.
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| Jean fait la tête, il croyait avoir vu la mer derrière les pins |
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| Le château de la Vervolière |
Ce domaine de la fin du XVème siècle/début du 16ème a longtemps appartenu à la famille Du Plessis, dont fut issu le Cardinal de Richelieu, ainsi propriétaire de ce château jusqu'à sa mort en 1642. C'est un bel ensemble fortifié avec, dans la cour, une porte de style gothique flamboyant aux sculptures très détaillées. Cet édifice classé aux Monuments Historiques depuis 1920 est aujourd'hui une propriété privée qui est toutefois ouverte au public lors des Journées du Patrimoine.
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| Ils s'égaillent encore |
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| Le soleil se couche, il est temps de rentrer |
Cette journée nous a réservé une palette d'atmosphères très différente : la brume enveloppante, le temps renfrogné, le soleil qui pointe son nez et nous accompagne avant de se coucher. La botanique était aussi au programme avec l'observation de plantes telles que la datura ou la phacélie, véritable régal des butineuses. Le dépaysement était total à 40 minutes de chez nous, avec ces collines boisées, l'absence de chemins creux et le bâti "tourangeau"
RépondreSupprimerIl n'y avait que Jean qui était renfrogné... derrière les pins, il pensait voir la mer ! mais il retrouve vite le sourire (n'est-ce pas Jean ?).
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