mercredi 26 juillet 2023

En Sud-Vienne, rando Isloise...

De retour en Sud-Vienne, à L'Isle-Jourdain, pour une rando matinale de 13 km en partenariat avec l'Office de Tourisme "Sud-Vienne-Poitou". Quelques randonneurs de la région nous ont accompagnés durant cette belle balade.


L'église de St Paixent : elle fait partie d'un ancien prieuré fondé au 11ème siècle. Elle relève de la période romane et présente encore de beaux éléments caractéristiques de cette région de transition entre Poitou et Limousin, avec son portail polylobé notamment. A l'intérieur, le décor se concentre sur quelques chapiteaux sculptés. Dans la nef, la statue de la Vierge à l'Enfant est vénérée sous le titre de Notre-Dame de Saint-Paixent. Jusque dans les années 1960, les paroissiens la menaient en procession, vêtue d'une parure de dentelle (inscription aux Monuments Historiques en 1973).









Beau coin pour la pause matinale, près de la Vienne











Ce qu'il reste du théâtre de verdure

Mon école buissonnière




Alors, c'est pour quand : bouées tractées, ski nautique, wakeboard....qui osera se lancer ?

Le viaduc

Sa silhouette majestueuse et sa qualité de construction en font le monument emblématique de l'Isle-Jourdain. Long de 304 m il est composé de 12 arches de 20 m d'ouverture et a été construit entre mars 1882 et octobre 1884. Sa hauteur de 10.25 m se prête au sport du saut à l'élastique. Construit pour enjamber la vallée de la Vienne et servir au trafic ferroviaire, il reste aujourd'hui un sentier de randonnée et un lieu de promenade apprécié. Le panorama est d'une grande ampleur.






D'autres photos....




Chenille de l'écaille martre ou hérissonne (selon Jean-Luc)



Saint-Sylvain

On dit que le corps martyrisé de St Sylvain fut jeté dans la Vienne à St Junien et qu'il s'est arrêté au pied d'une pile du pont à l'Isle-Jourdain, cependant qu'il poursuivait son chemin jusqu'à Loubressac (commune de Mazerolles) où une chapelle lui a été dédiée. S'en suivent des dévotions pour guérir les femmes mariées souffrant de stérilité et pour soigner les enfants nerveux ou "braillards". On devait déshabiller et rhabiller l'enfant au pied de la statue, d'où "l'arche de la débraille". 




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